Abricotier

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Nom de la plante

Abricotier, anciennement Malus armeniaca, Prunus armeniaca

Dénomination latine internationale

Prunus armeniaca L.

Famille botanique

Rosaceae

Description et habitat

  • Petit arbre fruitier (4 à 5 mètres de hauteur) de port étalé à écorce brun rougeâtre, aux fleurs blanc rosé, originaire d’Asie centrale (Chine, Mandchourie), cultivé dans les régions tempérées et les régions à climat de type méditerranéen

Etymologie

  • Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’ arabe, l’ espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son « p». En arabe, celui-ci a été remplacé par un « b » qui en est le son le plus proche). Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc . [1]
  • Gilles Ménage fait dériver ce mot de mala praecoqua, d'autres de albercoq qui donne albercoque, alvacoques et albricot. d'autres du grec αβρος qui signifie mou, délicat, ou du latin aperitium, parce qu'il s'ouvre facilement ou apricum, apericoria signifiant ensoleillé (il faut mettre les les abricotiers à l'abri du vent et les exposer au soleil). [2]

Histoire et tradition

  • Serait originaire de Chine et d'Arménie

Chine

  • L'abricot est probablement originaire d'Asie, Turkestan, puis Chine du Sud, Tibet, Inde, Arménie. Il était connu en Chine trois mille ans avant notre ère, d'où on le dit également originaire, sous le nom de xing ( 杏 )ou aujourd'hui XING ZI, ( 杏子 ) - "fruit de la chance" [3]  : L'abricot est mentionné pour la première fois dans une lettre écrite en chinois datant de plus de 4000 ans. Le Shan-hai-king, un écrit attribué à l'empereur Yü vers 2200 av. notre ère, dit que plusieurs sortes de xing (nom chinois de l'abricotier) croissent sur les collines [4]. Certains abricotiers ont été planté par les empereurs Qing dans leurs jardins des Collines Parfumées ( Xiangeshan) au Nord Est de Pékin. Confucius enseignait à Qufu dans un lieu appellé la "Terrasse aux Abricotiers" et ce nom est devene synonyme de chaire de professeur, Xing Tan [5]. Un médecin chinois d'un pauvre village au XVIe siècle était célèbre pour avoir reçu des honoraires sous forme d'abricotiers plantés sur un terrain stérile. Il en remplit un champ, qu'il donna quinze ans après aux villageois en leur disant que l'huile qu'ils en extraieraient, leur permettrait de payer médecin et médicaments, et d'entretenir veuves, vieillards, et orphelins.

Arménie

  • L'Arménie est également le berceau de l'abricot. Abricot se dit tsiran (Ծիրան) en arménien, Armeniaca ab Armenia, Armeniaca. Il fut appellé Mala armeniaca, pomme d'Arménie, par Gaspard Bauhin (1560-1624) et Linné le nomma prunus armenica, prune d'arménie en 1753. Des fouilles archéologiques auraient mis à jour des noyaux d'abricot datant de plus de 6000 ans avant J.-C. ont été trouvés dans le sol de Shenchovit, une ancienne ville arménienne située près d' Erevan et près du temple de Garni. Selon un récit, c'est Alexandre de Macédoine qui en emporta des noyaux vers la Grèce, sous le nom de Mala armenia d'où ils furent ensuite expédiés vers Rome où l'on dénomma ce fruit. L'Arménie est couverte d'abricotiers. Un total de 8430 tonnes d'abricots a été exporté à partir de l'Arménie contre 7031 tonnes en 2011.

Europe

  • Il fut ensuite introduit à Rome trente ans avant Pline. Pline le décrit comme un fruit innocent, bon pour les malades. (Pomum innocuum expeditur aegris). Surnommé aussi Praecoquus en raison de sa précocité. Il est aussi cité par Columelle et Martial.
  • Il apparait en Europe, sans doute avec les croisades, ou par la route de la soie, au Moyen-Age : Joinville, dans sa Vie de saint Louis, le dit originaire d'Arménie, et indique non nom latin (mala armeniaca) et italien (armellina). En revanche il n'entre pas dans les livres de cuisine.
  • Le nom de l'abricot proviendrait de l'arabe al barquouq, ce qui signifie le précoce. Les Arabes le cultivent dans les jardins de Grenade sous le nom de Barkuk, en Andalousie, ainsi que les Abbassides : il est cité dans Les Contes des Mille et une Nuits : " Là, chaque arbre fruitier était représenté par ses deux meilleures essences; il y avait des abricotiers avec des fruits à amande douce et des fruits à amande amère; il y avait même des abricotiers du Khorassan". On a la preuve que l'arabe barquq ou birquq signifiait autrefois 'abricot' dans le fait qu'il vient d'un mot latin désignant une variété d'abricot et qu'il a donné naissance à des noms espagnol (albaricoque), catalan (albercot) et grec (verikokko) désignant tous l'abricot.
  • C'est à la Renaissance qu'il est introduit en France, venant de pays lointains, en Anjou, sans doute par le roi René de Sicile, natif d'Angers vers 1440, et qu'il entre dans le vocabulaire commun : Rabelais le cite, dans Pantagruel, pour le comparer au sexe féminin. La Quintinie, botaniste et jardinier de Louis XIV, fait planter des abricotiers dans le jardin potager de Versailles au XVIIe siècle.
  • Le premier pomologue qui en parle est Charles Estienne en 1530. Bauhin en 1595 mentionne 2 variétés : le gros et le petit. On pense d'après Olivier de Serres qu'il en existe 7, dont 3 alberges (il cite en plus l'abricot blanc et l'abricot de Hollande). Le Lectier n'en fait pas mention, La Quintinie en cultive 3 (l'abricot commun, le précoce et l'Angoumois). Il est cultivé dans les pépinières des Chartreux du Luxembourg créées par Frère Alexis de Vitry, qui en décrivent 4 dans leur calalogue en 1736 (l'Abricot tardif musqué, l'Angoumois, le Blanc et le Gros ou commun). 7 exemplaires seront transplantés au Jardin des Plantes. Duhamel de son côté en cite 14 avant la Révolution au XVIIe siècle.

Pakistan

  • L'abricot augmenterait la durée de vie : il entrait dans la composition d'un élixir de longévité chinois cependant légendaire. Un médecin de XVIe siècle fait également allusion à sa longévité, attribuée aux abricots que lui apportait son père. Fontenelle dont la grand mère, morte centenaire, avait mangé beaucoup d'abricots cuits, en confiture, en pâte, les considérait lui aussi comme l'aliment de la longévité. Le peuple des Hunzas, de la vallée Hunza du Pakistan (proche du Karakorum, région Gilgit-Baltistan), peuple célèbre pour ses centenaires, consomme quotidiennement, beaucoup d'abricots, surnommé l'or des Hunzas. Ils le consomment sec après séchage au soleil, et les femmes extraient l'huile des amandes du noyau, ce qui fait l'objet d'un véritable rituel. Comme aliment, ils en font des glaces mélangé à la neige pilée, de l'huile, l'utilisent comme carburant, huile d'éclairage, ingrédient culinaire (vinaigrette), lotion pour le visage.
  • Selon les chercheurs et les médecins qui ont étudié les Hunzas dans les années 1950 et 60, 100% de sa population avait une vision parfaite, le cancer, les maladies coronariennes, l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie, l'appendicite et la goutte étaient des maladies inconnues. L'huile d'amande des abricots des Hunzas est aujourd'hui commercialisée dans le monde entier en raison de sa teneur en B17 (?).

Traditions médicales

Médecine chinoise ancienne

  • L'abricot est originaire de Chine et non d'Arménie, comme on l'a cru en le nommant Prunus armeniaca, et il y était utilisé en médecine depuis des millénaires. Les amandes étaient rissolées, pilées au mortier, mélangées à des poudres, tamisées à travers une étoffe, repilées et retamisées, pour constituer une pâte uniforme, puis une drogue huileuse mélangée à d'autres ingrédients.

Prunus mandshurica

  • Anti-hémorragique (peau d'abricot, réduite en cendres d'écorce + vin chaud).
  • Constipation.
  • Bronchite, maux de gorge, asthme, toux (électuaires et préparations diverses, combiné avec d'autres composants comme l'ephedra, ou l' aster tataricus ).
  • Empoisonnement (saturnisme, plomb, étain).
  • Longévité.
  • Rage, morsures.
  • Rages de dent (amande chauffée et appliquée en compresse).
  • Ulcères des nourrices.
  • Rafraîchissement (boisson, pastilles)
  • Vers

Médecine européenne

  • Latin : Armeniaca, Arméniaca nuclei (Jean Mésué) Mala Praecoccia, (pommes précoces), Praecoccia, Chrysomele (pommes d'or) , grec : Praikokkia, Berekokka , Bericoccia , Mailon armeniacon (Disc.). Europe : Armègne. Armellina. Armelìn (Armenius de l'Arménie, à Venise). Grisomèle. Crisomiles. Bericoco. Armeniache. Alvarcoques. Auricots, Aubricots, Albricots. Botanique : Mala Armeniaca (Bauhin) Prunus Armeniaca (Linné, 1753), prune d'Arménie.
  • L’abricot était consommé en début de repas selon les prescriptions des médecins.
  • Galien : l'indique come indigeste, fiévreux.
  • Discoride : bon pour l'estomac plus que la pêche.
  • Mésué le Jeune : bon pour les hémorroïdes et maux d'oreille.
  • Seul fruit absent du Traité des médecins de Salernes du XIe siècle, il est rare.
  • Pour Hildegarde, il remplit l'estomac et n'est bon qu'en cela.
  • Plaetarius : conseille de les manger seulement à jeûn, avant tout aliment. Contre les hemorroïdes.

Selon Saint Albert, entre autres propriétés :

  • Il éloigne la soif
  • Il chasse la bile (la colère).
  • La solution a des propriétés anti-aphrodisiaques.
  • A prendre avant les repas en petites quantités, boire ensuite de l'eau avec du miel.
  • Pour Matthiole (huile) :
    • Guérit la colique
    • Otites, inflammation de la langue
    • Ulcères, tumeurs
    • Hémorroïdes
    • Calculs (huile + vin)
  • Tacuinum sanitatis : « Armoniaca ou abricot ». L'abricot est froid et humide. Celui qui veut absolument en manger doit avoir l'estomac vide et boire ensuite du bon vin. Il est surtout utilisé comme vomitif.
    • Jean Liebault (la Maison Rustique) indique une huile volatile utilisée en 1589 contre les hémorroïdes, tintements d'oreilles, ulcères, maux de langue.
    • Pour Gaspard Bauhin (XVIe siècle) : Il soigne la soif, les fièvres ardentes et la colère.
  • La Framboisière, de Nicolas Abraham ou Ordonnances sur la composition des medicaments (1603) indique la recette de la confiture d'abricots : en fait, celle des abricots confits entiers dans le sirop, tels qu'on les consomme encore en Grèce aujourd'hui.
  • Moïse Charras l'indique en "frontal", contre les maux de tête : les amandes pilées huileuses, sont enveloppées dans un linge très fin et appliquées ensuite sur le front et les tempes, arrosées d'eau de rose.

Médecine arabe

Ajjas Irmini (Al-Biruni) Al-barqûq qui donna Albercoque, Mirmex, Mirmix, Mesmes, Mouchmouch, Misch Mousch louzi, Mex, Mirmix, Barkouk (Andalousie). arabe moderne: مشمشMischmisch.

  • Mesue, Hémorroïdes, maux de nez
  • Al-Biruni  : Astringent ( pulpe verte, abricot non muri), diarrheique, pulpe bonne et résolvante (il était consommé alors avant le repas)
  • Avicenne : Pommade contre éruptions cutanées (huile d'amandes - زيت مشمش+ bdellium - onguent d' Avicenne)
  • Calme la douleur des hémorroïdes
  • Diarrhée
  • Ibn Al-Baytar : Dysentrie
  • Douleurs nasales
  • Maux d'oreilles, bourdonnements, otites, surdité (huile)
  • Pieds et mains douloureux (friction)
  • Pores dilatés
  • Rhumatismes
  • Une ancienne recette de tisane ottomane indique qu'il était utilisé contre les inflammations de l'estomac. Or des recherches récentes indiquent que l'abricot japonais stopperait la bactérie H. Pylori de la gastrite chronique ou inflammation de la paroi de l'estomac.
  • L’abricot est bon pour la vue, il contient toutes les vitamines et oligo-éléments indispensables à l’amélioration de la vision.

Parties utilisées

  • Fruit, pulpe
  • Noyau : Huile des graines (amandes contenue dans le noyau)
  • Feuilles

Formes galéniques disponibles

  • Huile (de noyaux)
  • Poudre
  • Baume (beurre d'abricot)
  • Crème

Dosages usuels

Composition

Composants principaux de la plante

Composants principaux des bourgeons ou jeunes pousses

Composants principaux de l'huile essentielle

  • L'huile essentielle (Essent Amygdae.) chimiquement identique à celle de l'amande amère contiendrait un liquide incolore, glucoside cristallin, l'amygdaline.

Propriétés

Propriétés de la plante

  • Huile végétale stable de toucher gras, mais bien absorbée par l’épiderme
  • Améliore la fonction barrière cutanée et la microcirculation, aide à reconstruire le film lipidique de la peau, anti-inflammatoire, protège contre l’action des UV
  • Assouplissante, améliore l'élasticité de la peau et adoucissante
  • Hydratante et nourrissante cutanée (AGE et AGMI)
  • Antioxydante (vitamines A et E)
  • Antianémique (cobalt et cuivre, fer)
  • Renforcerait le système immunitaire et la santé : cheveux, gencives, glandes, yeux, artères (bêta-carotène, vitamine A)
  • Prévention ostéoporose, post-ménaupause (riche en bore)
  • Antidysentrique (dysenterie amibienne), régularise le transit digestif, diarrhée et constipation
  • Hypocholestérolémiant grâce au lycopène et bêta-carotène
  • Affections cardiovasculaires
  • Protection des yeux (vitamine A produisant la rhodopsine)
  • Tonifiant intellectuel (phosphore, magnésium)
  • Gastrite chronique

Propriétés des feuilles

  • La feuille d'abricotier soignerait la dysenterie amibienne. On extrait le jus de feuilles d’abricot, on le dilue et en on boit en petite quantité.

Propriétés du fruit

  • Pectines : fibres digestes, douces, alimentation pour bébés
  • Couleurs orange foncé et rouge : indiquent la teneur en vitamines et caroténoïdes
  • Amandes broyées (Semen Pruni Armeniacae, ku xing ren杏仁 ) : antitussif ; asthme ; rhume|bronchite (cuites dans du lait); constipation.

Propriétés du bourgeon

Propriétés de l'huile essentielle

  • Dermatologie, cosmétique : Bonne pour la peau, émolliente, et hydratante (vitamines A et E) pour la peau exposées au soleil (coup de soleil) ; mélangée à de l' huile d'onagre , ralentit le vieillissement cutané mélangée à l'argile. Ravive le teint, efface les rides, adoucit les peaux sèches. Ralentit la chute de cheveux. Acné.

Indications

Indications de la plante entière (phytothérapie)

Indications du bourgeon (gemmothérapie)

Indications spécifiques de l'huile essentielle (aromathérapie)

Mode d'action connu ou présumé

Formulations usuelles

Réglementation

Effets indésirables éventuels et précautions d'emploi

  • Présence de cyanure dans le noyau et les amandes : il fut réputé pour être un fruit dangereux (poison) en Perse et dans le Piémont… On ne savait alors pas pourquoi, puisqu'on pouvait consommer le fruit sans danger! Le noyau est toxique à cause de la présence de cyanure, mortel à haute dose, dangereux pour les enfants.
  • Allergie aux sulfites (abricots séchés)
  • Syndrome d'allergie orale
  • Cause parfois la diarrhée

Annexes

Liens connexes

  • Laetrile (Amygdaline, Vit. B 17) très controversé

Références bibliographiques

  • Leroy André. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus généralement connus et cultivés (Angers : 1867) Full Text
  • Despeux Catherine, Obringer Frédéric. La Maladie dans la Chine Medievale: La Toux. L'Harmattan. Collection Recherches Asiatiques, 1997.
  • Alpaslan M. Hayta M. ' , Apricot kernel : Physical and chemical properties, Journal of the American Oil Chemists Society Y. 2006, vol. 83, No. 5, pages 469-471
  • Christen D, Chajia H., Senay S., Heritier J. et Zonneville F. Les amandes d'abricot, un co-produit de la distillation à valoriser. Station de recherche agroscope Changins-Wändenswill ACW ]
  • M.Radi, M.Mahrouz, A.Jaouad, M. Amiot.Characterization and identification of some phenolic compounds in Apricot fruit (Prunus armeniaca L .) Sciences des Aliments. An international journal of food science and technology VOL 24/2 - 2004 - pp.173-184 - doi:10.3166/sda.24.173-184 0240-8813
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  • Prasad D. A new aromatic glycoside from the roots of Prunus armeniaca  : A new aromatic glycoside, 4-O-glycosyloxy-2-hydroxy-6-methoxyacetophenone, has been isolated from the roots of Prunus armeniaca, Fitoterapia (Milano) Y. 1999, vol. 70, No. 3, pages 266-268
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  • Yigit, Mavi. Antioxidant and antimicrobial activities of bitter and sweet apricot (Prunus armeniaca L.) kernels, Brazilian journal of medical and biological research, 2009, 42, 346 - 352 ]
  1. Wiktionnaire
  2. Lire pour une étude approfondie étymologique, Lingua, cultura e testo Volume 1 publié par Enrica Galazzi (page 345)  ; Arveiller, Raymond. (1979)Latin médiéval chrysomelum, ancien et moyen français chrysomele: Coing ou abricot? in : Festschrift Kurt Baldinger zum 60. Geburtstag: 17. November 1979, Volume 2 Kurt Baldinger Niemeyer, 1979 (pages 552 et suivantes) - les différents termes signifiant abricot sont mis en lien avec les textes des médecins.
  3. Bernie de TOURS Le mauvais tour de Babel: Pérégrinations ludiques au royaume des mots Éditeur Scali, 2007 ISBN 2350121194, 9782350121192
  4. TONELLI Nicole, GALLOUIN François, Des fruits et des graines comestibles du monde entier (Livre numérique Google) Lavoisier, 2013
  5. Antoine Gournay, Savourer, goûter, Presses de la Sorbonne, 2002